En réponse à :
- Un défi pour PARADISAEA - - Jérôme Mathey
Les drones solaires actuels visent à « servir l’humanité », la communauté scientifique, les rêves de quelques uns (partagés par beaucoup d’autres). Et je ne parlerai volontairement pas des applications militaires (qui ont d’ailleurs un peu restreint le domaine de liberté des aéromodélistes en les dépossédant de quelques fréquences bien pratiques). Surveillance des feux de forêts, imagerie aérienne, mesures météorologiques, transport de denrées et médicaments en zones sensibles...projets de survol de Mars et de cartographie...
Dans quels défis nous plongeons-nous en plus du vol autonome ?
Des heures de vols sont possibles en vol thermique ou dynamique radiocommandé (1h40 en 2008 avec un modèle du commerce sur la pente sud)... et en vol autonome ?
Et si le vol s’affranchissait des ascendances naturelles ? et qu’il était alimenté par le soleil, quel temps de vol pourrions-nous viser ? sachant qu’en 1974 un planeur solaire volait déjà pendant près de 20mn et qu’aujourd’hui les records tournent autour de 48h de vol avec des altitudes pouvant atteindre 17000m (oui, oui, 3 zéros)...
Je vous laisse imaginer tout ce qu’on peut réaliser (au niveau faisabilité, le nouveau challenger autonome solaire ne coûte que 1000$)... à suivre....de près....